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CAHIER DU MOIS |
La province d’Ispahan, un foyer de la culture et de l’histoire de l’Iran (II)
La Grande mosquée d’Ispahan
Golpâyegân et son héritage architectural seldjoukide
Abyaneh,
un bijou rouge au cœur du désert
L’Écomusée du Dr Rahgoshay à Badroud :
Un outil pédagogique au service de la sauvegarde du patrimoine et de la promotion de l’identité nationale
CULTURE
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Repères
Les populations roms en Iran
Littératurre
Esthétique de la poésie lyrique de Saadi
Mehdi Hosseini
Traduit par
Situé dans la province du Centre (Markazi), Vafs fut autrefois une agglomération mède. Pendant la période islamique, il a fait partie des villages de la région de Djébâl, qui englobait les départements centraux actuels. Lors de la première division administrative moderne de l’Iran en 1937, le village est devenu une commune du département d’Arak. Et enfin, en 2003, Vafs a été incorporé à la commune de Komidjan. Ce village se situe à 49° 23’ de longitude est et 34° 51’ de latitude nord.
Situation (...)
Le thème du Divin Féminin est l’une des constantes de la spiritualité chiite et l’une des sources de son incroyable richesse se manifestant tant dans toutes ses dimensions qu’elles soient mystiques, théologiques, éthiques ou artistiques. Au-delà de la sphère religieuse, il apparaît dans les cultures influencées par la spiritualité chiite, même quand celui-ci a été minoritaire dans certains des pays en question.
C’est le cas de l’image choisie pour illustrer cet article, tirée du fameux classique du cinéma (...)
Moniroo Ravanipour
Traduit par
Le robot est sans pareil et il fait tout en appuyant sur un bouton, avait dit Andrew. On charge sa batterie, programme sa mémoire, et alors, il fait tout, comme un être humain, et agit selon les ordres qu’on lui donne… Le robot peut accueillir cent personnes sans se fatiguer ; en voyant arriver chaque invité, il s’approche de lui, s’incline, lui serre la main et le conduit au salon. La réception terminée, il raccompagne chacun jusqu’à l’ascenseur et appuie sur le bouton. Quand l’ascenseur arrive, il (...)
Kourosh Assadi
Traduit par
La pluie était en train de tout laver. L’eau du caniveau coulait des deux côtés de la rue, à toute vitesse, et le pavé était noir et mouillé. La rue était vide. Il pleuvait fort. Un bus arriva et freina devant l’arrêt, de l’autre côté de la rue. Les lumières étaient allumées dans le bus. Il était vide. Un homme descendit de ce bus vide et courut se réfugier sous un toit, ouvrit un parapluie et se mit rapidement à courir sur le trottoir ; comme s’il avait voulu rattraper l’eau qui partait. Il s’arrêta tout à (...)
Herbert Malicha
Traduit de l’allemand par
Herbert Malecha naquit le 27 août 1927 à Raciborz, en Pologne. Suite à la mutation de son père fonctionnaire, la famille toute entière déménagea à Berlin, où Herbert entama ses études primaires. Durant la Seconde Guerre mondiale, il rejoignit tout d’abord la Luftwaffe, puis la Wehrmacht, et combattit sur le Front de l’Est. Fait prisonnier pas les Américains, il fut libéré en 1945, et les années qui suivirent furent les plus difficiles de sa vie. Il quitta Thüringen pour fuir les persécutions russes et (...)
Hassan Bani-Âmeri
Traduit par
(...) "Viens ici… mon chéri !"
Et je suis allé reposer l’album sur la table et j’ai relevé la vieille femme et je l’ai installée dans un fauteuil. Il m’indifférait désormais de la voir sans son échar…
"Merci", dit-elle.
Mais c’est incroyable…
La vieille me demanda d’aller chercher l’album. J’ai obéi. Elle l’ouvrit à la page trois.
"Tu commences à oublier, doucement, tout doucement, mon chéri."
Et elle me montra, ou peut-être était-ce Farhâd qu’elle montra, trônant sur un vélo de velours rouge et une femme (...)
En poésie, lorsque nous nous confions à un "lui" intérieur, il prend de l’ascendant sur tous les aspects de notre monde mystérieux, même s’ils sont tout à fait différents les uns des autres... Nous lui fournissons une clé fantastique qui lui ouvre les portes et les armoires poussiéreuses (de l’intérieur). Et grâce aux rayons de sentiments et de bienveillance que nous émettons envers les objets, notre "lui" devient un "pur observateur". A partir de ce moment, nous faisons la cour non seulement à la (...)
V. Badal
N° 32, juillet 2008Journal de Téhéran 5 Mordâd 1316 27 Juillet 1937
Monsieur le Docteur V. Badal, propriétaire de la grande maison de production de films cinématographiques Badal installée à Berlin, et dont tout Téhéran a pu apprécier le travail lors de la présentation du film Moscou· Changhaï qui passe actuellement au Cinéma Maïak, traite de main de maître du problème cinématographique au point de vue international et ses répercussions en Iran.
Nous commençons aujourd’hui la publication de cette étude qui intéressera (...)
N. Nouri
Traduit par
Arasbârân, آrâz bâr ou Gârâ Dâgh est une région montagneuse s’étalant sur une superficie de 12 200 km2 et située au nord de la province d’Azerbaïdjan de l’ouest et au sud de la rivière Aras, près des villes de Meshkin Shahr, Moghân, Sârâb, Marand, Tabriz et Ahar. Arasbâran jouit d’un climat de montagne relativement doux, et il y pleut beaucoup. Ces abondantes précipitations ont sans doute favorisé la formation d’une grande forêt de 120 000 hectares rassemblant plus de 180 espères d’arbres et de nombreuses plantes (...)
Sous Rezâ Shâh Pahlavi (1925-1941), l’art contemporain iranien, - c’est-à-dire ces pratiques artistiques inspirées des arts européens (la photographie, le cinéma, la peinture académique de Kamâl ol Molk…) et introduites en Iran fin XIXème-début XXème siècle - représentait essentiellement un moyen de rapprochement avec l’Europe et d’accession à la modernité. C’était un simple instrument au service du développement du pays, dont la valeur propre était minime. Or aujourd’hui, il est frappant de constater combien (...)
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