Merci de votre commentaire. Rien n’empêche de penser que ce livre est remarquable et sans précédent. Mais, force est de constater que la vérité "dérangeante" dont vous parlez concerne "une" famille iranienne et il faut éviter de la généraliser dans la conscience collective des lecteurs à "tous les Iraniens", particulièrement dans une recherche scientifique et dans une partie stratégique qui est la conclusion. Cependant, la vérité la plus pertinente, c’est que l’objectivité du chercheur en sciences humaines croise une subjectivité que nous ne pouvons pas dissocier de sa recherche. Comme le souligne A.-M. HOUDEBINE, le chercheur est un sujet à la fois historique, social, culturel « interprète et interprété par ce qu’il analyse ». C’est ce qu’Irina MOGLAN appelle dans sa thèse de doctorat « l’immanence culturelle du sujet » et que Cécile MATHIEU formule comme « le sentiment culturel du chercheur ».
Merci de votre commentaire. Rien n’empêche de penser que ce livre est remarquable et sans précédent. Mais, force est de constater que la vérité "dérangeante" dont vous parlez concerne "une" famille iranienne et il faut éviter de la généraliser dans la conscience collective des lecteurs à "tous les Iraniens", particulièrement dans une recherche scientifique et dans une partie stratégique qui est la conclusion. Cependant, la vérité la plus pertinente, c’est que l’objectivité du chercheur en sciences humaines croise une subjectivité que nous ne pouvons pas dissocier de sa recherche. Comme le souligne A.-M. HOUDEBINE, le chercheur est un sujet à la fois historique, social, culturel « interprète et interprété par ce qu’il analyse ». C’est ce qu’Irina MOGLAN appelle dans sa thèse de doctorat « l’immanence culturelle du sujet » et que Cécile MATHIEU formule comme « le sentiment culturel du chercheur ».