Entretien avec l’écrivain et photographe Gérard Macé (I)
17 février 2010, 21:10
Bonjour,
C’est justement grâce à la métrique et aux rimes que ces vers étaient mémorisés. D’autre part, une coutume antique iranienne voulait que la poésie soit chantée, parfois accompagnée musicalement, ce qui aidait notablement la mémorisation. Le Shâhnâmeh a été pendant des siècles chanté et récité par les naqqals dans les cafés ou les soirées poétiques. Et il y a deux ou trois décennies à peine, de nombreux nomades iraniens connaissaient des passages entiers ou même l’intégralité de cet ouvrage par cœur.
Bonjour,
C’est justement grâce à la métrique et aux rimes que ces vers étaient mémorisés. D’autre part, une coutume antique iranienne voulait que la poésie soit chantée, parfois accompagnée musicalement, ce qui aidait notablement la mémorisation. Le Shâhnâmeh a été pendant des siècles chanté et récité par les naqqals dans les cafés ou les soirées poétiques. Et il y a deux ou trois décennies à peine, de nombreux nomades iraniens connaissaient des passages entiers ou même l’intégralité de cet ouvrage par cœur.