Anish Kapoor, Léviathan ou la sculpture au-delà d’elle-même Grand Palais, Paris, 11 mai-23 juin 2011
30 janvier 2016, 20:36, par J.P. Brigaudiot
Evidemment dans un article dont la longueur est limitée on ne peut tout dire d’une oeuvre, les photos montrent le rapport d’échelle entre le visiteur et la ’sculpture’ : la pièce fait 12 tonnes, 35 mètres de hauteur maximale, 72000 M3 et une centaine de mètres de longueur maximale. Autant dire que c’est une grande pièce telle qu’on en attend dans le contexte du Grand Palais avec cette expo appelée Monumenta.
Pour d’autres informations regardez sur Internet ;
Ici il s’agit d’une commande publique et d’un art monumental tel qu’il a existé au fil du temps depuis plusieurs millénaires avec par exemple Persépolis ou la Chapelle Sixtine, la différence étant la pérennité qui pour Anish Kapoor n’existe pas puisque la pièce disparaît après l’exposition, comme il en va des installations et comme il en va de la plupart d’entre elles : une autre manière de penser le rapport au temps, avec une époque où beaucoup de formes d’art sont éphémères.
Bine cordialement.
Evidemment dans un article dont la longueur est limitée on ne peut tout dire d’une oeuvre, les photos montrent le rapport d’échelle entre le visiteur et la ’sculpture’ : la pièce fait 12 tonnes, 35 mètres de hauteur maximale, 72000 M3 et une centaine de mètres de longueur maximale. Autant dire que c’est une grande pièce telle qu’on en attend dans le contexte du Grand Palais avec cette expo appelée Monumenta.
Pour d’autres informations regardez sur Internet ;
Ici il s’agit d’une commande publique et d’un art monumental tel qu’il a existé au fil du temps depuis plusieurs millénaires avec par exemple Persépolis ou la Chapelle Sixtine, la différence étant la pérennité qui pour Anish Kapoor n’existe pas puisque la pièce disparaît après l’exposition, comme il en va des installations et comme il en va de la plupart d’entre elles : une autre manière de penser le rapport au temps, avec une époque où beaucoup de formes d’art sont éphémères.
Bine cordialement.