N° 88, mars 2013

Le dialecte tâti au travers de son histoire et de ses contes populaires


Shahâb Vahdati


Le tâti ou le dzohouri est un dialecte qui appartient au groupe nord-ouest des langues iraniennes et dont la structure grammaticale et lexicale est très proche du persan. Pourtant, sur le plan grammatical, il conserve encore certaines caractéristiques que le persan moderne a perdues avec le temps, ce qui donne au tâti un aspect relativement archaïque. Etant donné qu’il fut longtemps parlé par les juifs vivant dans les montagnes du Caucase, son vocabulaire est également légèrement influencé par certains emprunts à l’hébreu. Les musulmans et les chrétiens (Arméniens d’expression tâti) se trouvant au sud du Caucase font partie des locuteurs méridionaux de ce dialecte, mais certains changements lexicaux appliqués au cours des siècles rendent parfois impossible une compréhension mutuelle chez les différents parleurs du dialecte.

Le terme de tâti est en lui-même une appellation généralisée qui comprend un groupe de dialectes iraniens du nord-ouest étroitement liés aux langues parlées dans ces régions, notamment dans le Tâlesh. Il comprend un nombre considérable de parlers locaux ; des groupes de deux ou trois villages ayant chacun leur propre parler. Ces dialectes sont des résidus de la langue azérie, elle-même issue de la langue mède, parlée jusqu’aux XVIe-XVIIe siècles pour être ensuite remplacée par le turc.

ہ l’heure actuelle, les locuteurs du tâti sont répartis dans certains villages de l’Azerbaïdjan iranien (comme, par exemple à Harzanâbâd, se situant à distance égale de Khalkhâl et d’Ardebil), ainsi que dans les provinces de Zanjân et de Ghazvin. On a commencé à s’intéresser à ces dialectes dans les années 1930. Avant cela, en 1926, l’historien et homme de lettres Ahmad Kasravi fut le premier à se demander si les habitants de l’Azerbaïdjan avaient toujours utilisé une langue dont la nature et la structure était proche de leurs dialectes parlés à l’époque. Il entama ainsi une série d’études sur la langue ancienne de l’Azerbaïdjan et ses racines, ainsi que sur les structures des dialectes, suivies notamment avant la Seconde Guerre mondiale par les travaux de chercheurs soviétiques comme Minorsky et Miller, alors que l’idéologie soviétique cherchait à s’attirer les faveurs des peuples marginalisés pendant le règne des tsars.

Kasravi réalisa une étude sur les dialectes issus du tâti en 1946, qu’il poursuivit ensuite dans les années 1950. D’autres chercheurs iraniens et étrangers y participèrent tels que Sârang, Zokhârlou, Mortazavi, ou encore le chercheur anglais Walter Bruno Henning qui lui donna une classification méthodique et réfuta tout rapport de ce dialecte avec les locutions azéries, posant l’hypothèse que les locuteurs du tâti étaient issus d’autres régions d’Iran. Cependant, la personne ayant réalisé les études les plus approfondies à ce sujet est le chercheur iranien Ehsân Yârshâter, qui commença ses travaux à ce sujet au début des années 1950. Selon la méthode de Henning, Yârshâter divisa les dialectes tâti en cinq groupes, en fonction de leur distribution selon les régions. Actuellement, le tâti est divisé en dialectes du nord, du centre et du sud.

Il convient ici d’aborder les caractéristiques morphologiques de ce dialecte afin de mettre en relief à quel point sa parenté avec le persan paraît fondée, et la raison pour laquelle on l’a classé comme appartenant à la famille des langues iraniennes.

Concernant les sonorités du tâti, il ressemble à d’autres dialectes de l’Iran de nord-ouest se distinguant du persan notamment de par leur préservation du z, s, y, v contre les consonnes correspondantes dans les dialectes iraniens du sud-ouest d, h, j, b. Parmi les modifications phonétiques les plus notables du tâti figure le développement du rhotacisme (transformation d’un phonème en "r"). Sur le plan morphologique, le tâti se distingue de façon moins visible que d’autres langues et dialectes du sud-ouest. S’étant comme eux débarrassé des cadres principaux des noms et des verbes, il a pourtant conservé les caractéristiques essentielles des langues à déclinaison (un système de déclinaison suivant les cas : nominatif, accusatif et grammatical), et le genre, qui caractérise les formes verbales sans toucher les substantifs.

En tâti, la construction ergative existe avec des terminaisons significatives de ré-expansion et de reconstruction d’assimilations nominatives. Comme dans les autres langues du nord-ouest, la définition des prépositions reste caractéristique. L’accent y est prononcé avec vigueur. Il ne comporte pas d’accent tonique comme en grec. Concernant les noms, la dernière syllabe est accentuée comme en persan. Les terminaisons morphologiques sont, selon le cas, accentuées ou pas. Le suffixe indiquant le pluriel est accentué, alors que celui du complément d’objet direct, , ne l’est pas. Les formes verbales non conjuguées sont soumises à la règle générale d’accentuation. Dans les formes de verbes personnels simples, les cas suivants sont possibles :

1. La base est accentuée ou la dernière syllabe, si le mot a deux syllabes. (passé simple, passé composé)

2. La première syllabe est accentuée. (aoriste et impératif)

3. L’accent est mis sur la dernière syllabe terminaison. (conditionnel)

Dans les formes négatives comme en persan, l’accent est habituellement mis sur la négation. Dans les formes verbales composées, l’auxiliaire n’est jamais accentué. De par leur construction phrastique et leur tournure morphologique, les mots tâtis témoignent d’une importante proximité avec le persan, qui s’impose comme une évidence pour un locuteur du persan.

Les exemples ci-dessous montrent qu’ils partagent une même structure, et que leur ressemblance n’est pas superficielle et due seulement à des emprunts.

Les suffixes nominaux communs sont :

-e,-ek,-eti,-le,-ché, -i,-yin, -lémé,-lug, -chi, -al, -un

Les suffixes adjectivaux communs sont :

-i, -in, -lu, -lü, -suz, -mend,

et les suffixes verbaux :

ve-/va-/vo-/vor-/vi- (variant selon les locuteurs) de-/da-/do-/dir- ; fu-/fur- ; et les suffixes dérivatifs du nom à partir des verbes : -un.

La description des suffixes nominaux :

-e (substantivation - former les noms d’autres parties du discours)

savz-e : verdure, (à partir de savz, vert), mahser-e : une blague

-ek (la même fonction)

dest-ek : poignée, cheshm-ek : les lunettes

-i

bebesuz-i : état d’être orphelin, duraz-i : la longueur, duhter-i : la virginité

Au cours de ses recherches, Henning constata que des changements majeurs avaient eu lieu ayant simplifié le tâti, en comparaison du persan érudit parlé il y a plus de dix siècles. A titre d’exemple, le substantif précède toujours le possessif comme en persan, mais il reste intact et aucune terminaison ne s’y ajoutant, il est loin de l’aspect un peu désuet du substantif persan où la terminaison e donne l’image d’une langue à déclinaison à part entière. Ces divergences par rapport au persan sont pourtant occasionnelles et ne remettant jamais en cause la proximité naturelle entre tâti et persan. Au fur et à mesure, les recherches de Henning prirent néanmoins une autre dimension et s’éloignèrent de leur effort d’objectivité originelle, en se mettant, durant les années ayant suivi la Seconde Guerre mondiale, au service de propagandes idéologiques.

Dans les années 1950, les études au sujet du tâti furent réalisées dans un contexte marqué par les conflits territoriaux dans le cadre géopolitique de la Guerre froide. Le nationalisme naissant en Azerbaïdjan soviétique fut soutenu par Moscou tandis que l’Iran devint un enjeu important pour les deux blocs. Le tâti fut alors considéré comme un élément de résistance face aux visées expansionnistes du géant soviétique. Pour certains chercheurs iraniens comme Kasravi, enthousiaste de nature et écrivant dans une prose insolite, purement persane et exempte de l’influence du vocabulaire arabe, se posa la question d’enseigner le tâti aux populations du nord-ouest, afin qu’il remplace graduellement le turc dans ces régions. Selon lui, le nom d’Azerbaïdjan n’appartient qu’à la région iranienne portant ce nom, alors que la région du même nom située dans le giron soviétique, nommée Arrân jusqu’alors, avait usurpé ce nom par souci de s’annexer les territoires iraniens. Dans son livre consacré à l’histoire de la région intitulé Les Chevaliers Inconnus, il salue le tâti comme étant la seule langue historique des gloires passées des Iraniens du nord-ouest, et le considère comme le seul dialecte capable de redevenir le moyen d’expression des peuples azéris. Néanmoins, il existait une difficulté essentielle, qui était que le tâti ne pouvait fournir à ses locuteurs potentiels une culture écrite conforme aux attentes et besoins du XXe siècle, la littérature tâti n’étant jamais allée au-delà des fables et récits oraux, racontés par des villageois et montagnards, et transmis uniquement par la parole, se modifiant perpétuellement en absence de l’écriture. Elle ne fut donc guère à la source d’une culture écrite en tant que telle. Au même moment, à Londres, les travaux de Henning, portaient sur la classification de données disparates en vue d’obtenir une connaissance plus précise de ce dialecte, en étudiant notamment, selon une démarche structuraliste, ses rapports avec d’autres langues proches de son aire culturelle. Il est à signaler que les études en moyen perse et son étymologie ont toujours correctement pris en compte les langues anciennes et nouvelles de l’Iran. Dans certains cas, l’affinité des études sur le tâti avec celles consacrées au moyen perse a débouché sur des publications importantes. Cela est vrai, par exemple, de l’ouvrage de Henning La langue ancienne de l’Azerbaïdjan (publié en 1955), dont le titre indique déjà que, pendant son séjour en Perse (Henning s’y était rendu bien avant, dans les années 1930), ce dernier avait fait des recherches au sujet de l’ancienne langue persane de l’Azerbaïdjan. Cette dernière ne pouvait plus être revivifiée, mais ses travaux de terrain ont néanmoins conduit à une définition de la place du dialecte tâkestâni, enrichie par des données recueillies au sujet des dialectes locaux de l’Azerbaïdjan.

Conscient du fait que, même à cette époque, de nombreux dialectes iraniens étaient sur le point de disparaître, Henning a participé à la collecte d’importantes données à leur sujet. En outre, il a encouragé les enquêtes de terrain et une description du tâti par ses élèves, ce qui a mené à l’étude des dialectes kurdes par D. Neil McKenzie et des dialectes du sud du tâti par Ehsân Yârshâter.

Pour finir, nous présentons quelques récits issus de cette culture principalement orale :

Le rossignol et le corbeau

Un rossignol perché sur une branche se mit à chanter l’une de ses plus belles chansons. Au même moment, un corbeau s’envola et s’assit sur une souche d’arbre, près du rossignol.

- Hé, imbécile, n’as-tu donc pas honte d’entonner ces chansons stupides comme un fou en face de moi ? Pourquoi tracasses-tu les autres ?

Le rossignol dit :

- C’est pour que le pays s’épanouisse ! On se délecte de ma voix, on se tourne vers moi poliment, car ma voix est une nourriture savoureuse, et puis on se délecte de ma viande comme du miel.

- Malheur à un imbécile tel que toi ! Ta voix est aussi mauvaise que toi, et ta chair est comme la viande avariée de chien ou d’âne. On te tue avec plaisir. Malheur au rossignol à qui tout le monde tourne le dos !

Puis il ajouta :

- Si tu es d’accord, allons voir le juge le plus clairvoyant et tel sera le sort du perdant : que l’on crève un œil de celui de nous deux qui a la pire des voix.

Le rossignol donna son accord. Ils se mirent en route et rencontrèrent un cochon. Le cochon fut érigé en juge et comme la voix du rossignol ne lui plut pas, ce dernier eut un œil crevé.

Le rossignol revint et s’assit sur la branche sur laquelle il s’asseyait auparavant, à l’endroit où il fredonnait toujours ses chansons. Le corbeau vint s’asseoir près de la souche. Il vit que le rossignol pleurait et dit :

- Hé, imbécile, l’affaire est close, le tribunal a rendu son jugement. Pourquoi pleures-tu maintenant ?

Le rossignol a dit :

- En vérité je suis un imbécile. Je ne pleure pas d’avoir un œil crevé. Je porte le deuil de l’instant où j’ai fait confiance au jugement du porc.

***

Le lapin et le renard

Il était une fois un lièvre et un renard vivant dans la même forêt. La maison du lièvre était en bois, et celle du renard en glace.

Lorsque vint le printemps, la maison du renard fondit, et la maison du lapin ne bougea pas. Que faire ? Le renard réfléchit :

- Allons chez le lièvre, il peut m’héberger.

Il se rendit chez le lièvre, et avec une voix douce et très délicate, lui demanda plaintivement :

- Frère lièvre, quelles longues oreilles et pattes rapides tu as ! Je t’en prie, laisse-moi venir chez toi pour que je me réchauffe, j’ai froid.

Le lièvre apitoyé le laissa entrer dans sa maison. Le renard entra et jeta le lièvre dehors.

Affolé, le lièvre alla voir le chien en pleurant.

- Pourquoi pleures-tu ? lui demanda le chien.

- Comment pourrais-je ne pas pleurer ? J’avais une maison en bois, et le renard une maison en glace. Vint le printemps, la maison du renard fondit, et ma maison resta. Il me demanda de le laisser se réchauffer chez moi puis me chassa de chez moi, répondit le lièvre.

- Ne pleure pas, lièvre. Je vais t’aider.

Ils arrivèrent à la maison du lapin. Le chien aboya :

- Waf, waf, waf ! Sortez de la maison du lièvre !

Le renard s’écria :

- Je vais me jeter sur vous, vous dépecer et déchirer vos entrailles que je jetterai dans les rues, et vos poils seront éparpillés partout !

Le chien eut peur et s’enfuit. Le lièvre pleura de nouveau, se sentant encore plus frustré. De grosses larmes ruisselaient sur son visage. Il rencontra un ours.

- Pourquoi pleures-tu, ô lièvre ? lui demanda l’ours.

- Comment pourrais-je ne pas pleurer ? J’avais une maison en bois, et le renard une maison en glace. Vint le printemps, la maison du renard fondit, et ma maison resta. Il me demanda de le laisser se réchauffer chez moi, puis me chassa de chez moi, répondit le lièvre.

- Ne pleure pas, lièvre. Je vais t’aider.

- Non, vous ne pouvez pas m’aider. Le chien a voulu aider, mais il n’a pas pu, donc vous ne pouvez pas non plus.

- Je peux le chasser, moi ! Ils se rendirent à la maison du lapin.

L’ours cria au renard.

- Hé, renard rusé ! Sors de la maison du lièvre !

De près du four à l’intérieur, le renard cria :

- Je vais tout à l’heure me jeter sur vous, vous dépecer et déchirer vos entrailles que je jetterai dans les rues et vos poils seront éparpillés partout !

L’ours paniqué fuit dans la forêt et le lièvre se mit de nouveau à pleurer. Il rencontra le coq qui portait une faux.

- Pourquoi pleures-tu ? lui demanda le coq.

- Comment pourrais-je ne pas pleurer ? J’avais une maison en bois, et le renard une maison en glace. Vint le printemps, la maison du renard fondit, et ma maison resta. Il me demanda de le laisser se réchauffer chez moi, puis me chassa de chez moi, répondit le lièvre.

- Allez, allez, je vais t’aider dans ta peine, dit le coq.

- Non, ô coq, tu ne pourras pas m’aider. Le chien n’est pas arrivé à le chasser, ni l’ours. Tu ne pourras pas non plus.

- Je peux le chasser ! dit le coq.

Ils se rendirent à la maison du lièvre. Le coq gratta la porte de ses pieds, agita ses ailes, et fit peur au renard.

- Je suis le coq, cocorico,

Je crie après toi,

Je porte une faux sur l’épaule,

Préparée pour le renard,

Sors rapidement de la maison !

Avant que je ne te coupe la tête.

Le renard, effrayé, s’enfuit de la maison, et aussitôt le coq lui coupa la tête. Depuis lors, le coq et le lièvre vivent ensemble, et rien ne trouble leur amitié.

***

Le vieil homme et l’ours

Il était une fois un vieux bûcheron dans un village au bout du monde. Un matin, le vieil homme s’enfonça dans la forêt pour ramasser du bois. Il rencontra un ours sur son chemin. Il fut effrayé, mais rassembla vite ses esprits.

- Où allez-vous ? demanda l’ours.

- Dans la forêt, pour ramasser du bois de chauffage, dit le vieillard.

- Attendez, nous pouvons travailler ensemble et planter des graines, dit l’ours.

- D’accord, mais que planter ? demanda le vieil homme.

- Des betteraves, c’est délicieux, répondit l’ours.

Le vieil homme et l’ours allèrent planter des betteraves. Après un ou deux mois, de grandes feuilles poussèrent. Il fut temps de récolter les betteraves. Le vieil homme dit à l’ours :

- Choisissez ce que vous voulez, voulez-vous les feuilles ou bien les racines ?

- Je prends les feuilles, les racines sont pour toi, prend-les, dit l’ours.

Et firent comme il était convenu dès le début, se partageant les betteraves : l’ours prenait les feuilles et le vieux, les racines. Le vieil homme apprécia tout l’hiver le goût sucré des betteraves. L’ours mâchait et remâchait les feuilles et comme ça le gênait, il finit par jeter les feuilles. Un jour, le vieil homme se rendit au marché, les betteraves dans un panier. Chemin faisant, il rencontra l’ours.

- Où vas-tu ? demanda l’ours.

- A la ville, pour vendre les betteraves, répondit le vieil homme.

- Ah oui, les betteraves ! dit l’ours.

Il mangea les betteraves, elles étaient douces et succulentes.

- Tu m’as trompé, tu as des betteraves sucrées. Ne viens plus jamais dans la forêt pour ramasser du bois !, cria-t-il.

- Attendez ! Plantons donc cette fois des grains de blé, dit le vieil homme.

- D’accord, mais je ne serai pas dupe : cette fois, les racines sont pour moi, et les feuilles pour toi, dit l’ours.

- D’accord, faisons comme vous dites, répondit le vieil homme.

Le vieil homme et l’ours semèrent du blé au printemps. Puis vint le temps des moissons. Le vieil homme et l’ours récoltèrent le blé.

- Partageons le blé, dit l’ours.

- Partageons-le, dit le vieil homme. Prenez ce dont vous avez besoin. L’ours prit les racines et les tiges, et le vieux, les épis jaunes et dorés. Il les moulut, les cuit et en fit du pain chaud, et ne connut pas la faim de tout l’hiver. L’ours essaya les racines et les tiges de blé, et mâcha ses doigts tout l’hiver. Il était très triste et après cela, l’homme et l’ours ne travaillèrent plus ensemble. Ils sont restés des ennemis irréductibles.

Références :
- Logonov Vladimir, Les langues de l’URSS, éd. Mir, Moscou, 1974.
- Sokolova Ludmila, Les bases des nouvelles langues iraniennes, éd. SPB, Kiev, 1974.
- Yârshâter Ehsân, Le tâti, Encyclopédie Persica, Vol 17, New York, 2002.
- Minorski Vladimir, Le tâti, Encyclopédie de l’Islam, éd. Brill, Londres, 1938.
- http://trilinguis.ru/linguistic/juhur.aspx


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